Selon l’organisation panafricaine des médias, l’homme a reçu le titre de meilleur acteur de la promotion du vivre-ensemble et de la bonne gouvernance administrative. Une distinction qui met en lumière le travail acharné qu’abat l’homme pour rendre une justice équitable à ses compatriotes.
Le fait ne court pas les rues. Voir des hommes de médias qui acclament les actions d’un responsable du pouvoir judiciaire. Et qui plus est, un procureur, tant il est vrai que ce milieu est étiqueté comme étant gangréné par la corruption. Et pourtant, les actions de Noé Mouelle ont frappé dans l’œil de l’Organisation panafricaine des médias qui, après enquête minutieuse, et « ayant statué discrètement et contradictoirement » a prononcé son « verdict », déclarant ainsi celui qui assume la fonction de procureur de la République près le tribunal de Ndokoti Douala, apte à recevoir le prix de « meilleur acteur de la promotion du vivre-ensemble et de la bonne gouvernance administrative ».
De l’avis des responsables de cette organisation, Mouelle Noé, Magistrat de 3e grade, anciennement procureur de la République près le Tribunal de Première Instance de Mbanga dans le département du Moungo et ayant été appelé à servir la justice camerounaise toujours dans la région du Littoral, mais cette fois-ci dans le département du Wouri et plus précisément au tribunal de première instance de Ndokoti Douala, l’homme s’est distingué par sa probité qui fait de lui un procureur non pas redouté, mais respecté. Depuis son arrivée dans cette institution, tout est mis en œuvre pour que le nouveau code de procédures pénales, soit respecté en dépit des pressions (car il faut bien le dire, selon l’enquête discrète menée par les membres de l’organisation panafricaine des médias, l’homme en subirait assez), le procureur est toujours resté droit dans ses bottes ; se contentant de dire le droit et rien que le droit. Avec une telle trajectoire, c’est la justice camerounaise qui s’en ennoblit.
« Le visage de la justice et du droit dits au tribubal de première instance de Douala Ndokoti a considérablement changé. Les faits parlent d’eux-mêmes ». Ces mots de Grace Engome, présidente de l’Organisation panafricaine des médias (Opm), renseignent à suffisance sur les mobiles qui ont orienté le jury de cette organisation à porter son dévolu sur Noé Mouelle. Beaucoup de commentaires se font d’ailleurs en faveur de cet homme qui, tout en disant le droit, amène les uns et les autres à comprendre l’importance qu’il y a à respecter la loi.
Ericka Nkodo